Foreign Minister’s Portal (FMP) for France

Embassy of Pakistan,  Paris  

(11 October 2021)

The Embassy of Pakistan, Paris is pleased to announce that the Foreign Minister’s Portal (FMP) for France has been recently launched. In addition to the existing Pakistan Citizen’s Portal, FMP would further supplement effective facilitation and redressal of the complaints and problems of our community members.

The Pakistani Diaspora living in France can also register their complaints or queries at FMP. The App may be downloaded from Google Play :- https://play.google.com/store/apps/details?id=com.nitb.foreignministry.foreign_ministry_portal&hl=en&gl=US

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Imran Khan, Premier ministre du Pakistan, appelle les États-Unis à « se ressaisir » pour éviter un effondrement en Afghanistan

Middle East Eye (11 October 2021)

Le Premier ministre du Pakistan, Imran Khan, a appelé ce lundi les États-Unis à « se ressaisir » pour éviter que l’Afghanistan ne redevienne un refuge pour les terroristes.

« Nous traversons un moment critique et les États-Unis doivent se ressaisir ; les Américains sont en état de choc, » a-t-il déclaré dans une interview accordée à Middle East Eye, un site d’information en ligne basé à Londres.

Évoquant le sacrifice de dizaines de milliers de Pakistanais après que le pays a rejoint la guerre contre le terrorisme menée par les États-Unis, Imran Khan a ajouté qu’il était d’un intérêt vital pour le Pakistan que Washington se montre à la hauteur, par crainte de payer un tribut bien plus lourd.

« Les Américains pensaient l’avenir en termes de démocratie, de “nation building” ou de femmes libérées, et, du jour au lendemain, le drapeau taliban a été hissé dans Kaboul. La colère est grande, tout comme le choc et la surprise. À moins que les États-Unis ne prennent les devants, nous craignons que le chaos règne à nouveau en Afghanistan et qu’il se répercute le plus durement chez nous. »

Il estime qu’après deux décennies de conflit, les États-Unis n’ont pas d’autre choix que d’appuyer un gouvernement stable en Afghanistan, aux mains des talibans, car eux seuls sont en mesure de combattre l’État islamique dans la région — et de bloquer les tenants de la ligne dure dans leurs rangs.

Le Premier ministre pakistanais a réitéré son appel à la communauté internationale pour qu’elle s’engage auprès de l’Afghanistan. Tourner le dos au peuple afghan serait un désastre, cela reviendrait à renforcer les extrémistes et à ramener le pays vingt ans en arrière.

Sanctionner les talibans mènerait selon lui à une catastrophe humanitaire en Afghanistan alors que la moitié de la population vit déjà sous le seuil de pauvreté et que 75 % du budget dépend de l’aide internationale.

« Si nous ne faisons rien, je crains que 1989, l’année où les Soviétiques et les Américains sont partis et où plus de 200 000 Afghans sont morts dans le chaos, ne se répète sous nos yeux, » a-t-il déclaré, faisant référence à la guerre civile qui a ravagé le pays après le retrait des troupes soviétiques.

Imran Khan a indiqué à Middle East Eye qu’en 2008, il avait averti Joe Biden, John Kerry et Harry Reid — tous trois sénateurs à l’époque — que la voie militaire ne permettrait pas de sortir du bourbier afghan qu’ils avaient créé. Il n’a pas été écouté.

Deux ans plus tard, le général pakistanais Ashfaq Parvez Kayani, alors chef d’état-major des armées, a fait part du même message au président américain Barack Obama.

« Nous sommes soulagés, parce que nous nous attendions à un bain de sang. Nous avons finalement assisté à un transfert pacifique du pouvoir. En revanche, nous avons eu le sentiment d’être blâmés pour cela. Trois cent mille soldats [de l’armée afghane] ont baissé les armes, nous n’y sommes pour rien. »

À la question de savoir si le gouvernement formé par les talibans était inclusif, Imran Khan a concédé qu’il ne l’était pas, mais il a précisé qu’il s’agissait d’un gouvernement de transition.

Il a déclaré que le Pakistan travaillait avec les États voisins, notamment le Tadjikistan et l’Ouzbékistan, au vu des importantes minorités ethniques ouzbèkes et tadjikes vivant en Afghanistan, afin d’encourager les talibans à former un gouvernement plus représentatif.

« Ils ont besoin d’un gouvernement inclusif, reflétant la diversité de la société afghane. »

Imran Khan a déclaré qu’il fallait donner du temps aux talibans : « Ils ont fait des promesses et se retrouvent à court d’options. Qu’allons-nous faire d’autre si nous les sanctionnons ? Le meilleur moyen est de les inciter à tenir parole. »

« Si nous les forçons, connaissant leur tempérament, ils résisteront. Ce serait contre-productif. »

Il a expliqué qu’il y avait différents courants au sein du mouvement taliban et un manque de leadership clair sur certaines questions.

Il a déclaré que le Tehreek-e-Taliban Pakistan (TTP) était composé de 50 groupuscules et qu’il tentait de réconcilier ceux qui se montraient prêts à discuter.

« Nous essayons maintenant de parler avec eux, car nous sommes en position de force. J’ai toujours eu l’intime conviction que tous les insurgés finissent par consentir au dialogue, comme l’IRA [Armée républicaine irlandaise] par exemple, » a-t-il déclaré en faisant référence à l’accord de paix conclu en Irlande du Nord.

Imran Khan a ajouté que le gouvernement taliban à Kaboul avait assuré à Islamabad que le TTP ne serait pas autorisé à lancer des attaques contre le Pakistan depuis le sol afghan.

Il a accusé les services de renseignement indiens d’avoir apporté un appui aux attaques survenues sous l’ancien gouvernement de Kaboul.

« Nous devons maintenant parler à ceux avec qui nous pouvons trouver un terrain d’entente afin de les [persuader] de rendre leurs armes et de réintégrer la vie civile. »

Le Premier ministre du Pakistan a condamné l’utilisation répétée de drones par les États-Unis en Afghanistan.

« C’est la façon la plus insensée de lutter contre le terrorisme : attaquer une hutte de terre dans un village avec un drone et s’attendre à ce qu’il n’y ait pas de victimes collatérales. D’autant que bien souvent, les drones ont visé les mauvaises personnes. »

À la question de savoir si le Pakistan autoriserait les États-Unis à lancer des frappes visant l’EI en Afghanistan depuis le Pakistan, Imran Khan a répondu : « Une base ici leur serait inutile, car nous n’avons pas besoin de participer à un nouveau conflit. »

« Aucun pays n’a payé un aussi lourd tribut. Quatre-vingt mille Pakistanais sont morts. L’économie a été durement touchée. Nous avons accusé 150 milliards de dollars de pertes. On a dit que c’était l’endroit le plus dangereux de la planète. Trois millions et demi de personnes ont été déplacées à l’intérieur du pays. »

Imran Khan a estimé qu’il était encore trop tôt pour dire quel effet le retrait américain aurait sur la région.

Il a néanmoins déclaré que la Chine, puissance émergente, était la mieux placée pour combler le vide. Par ailleurs, elle est venue en aide au Pakistan dans les jours les plus sombres de son histoire récente.

« Quel pays nous a prêté main forte, alors que nous étions proches de la banqueroute ? La Chine. On se souvient toujours de ceux qui nous aident à surmonter les moments difficiles. »

Discutant de la situation des droits de l’homme au Jammu-et-Cachemire illégalement occupé par l’Inde (IIOJK), le Premier ministre du Pakistan a déclaré que l’Inde jouissait de la même impunité pour ses tentatives d’altération de l’équilibre démographique du Cachemire que celle dont profite Israël dans les territoires palestiniens occupés.

Il a accusé Narendra Modi de copier la stratégie d’Israël en permettant aux colons d’acquérir des terres dans le territoire contesté.

Qualifiant l’IIOJK de prison à ciel ouvert, il a déclaré que l’Inde violait la Convention de Genève en modifiant la Constitution indienne pour mettre fin à l’autonomie du Cachemire.

Le Premier ministre du Pakistan a estimé que l’Inde n’avait pas rencontré de contestation plus vigoureuse sur la scène internationale dans la mesure où ses alliés occidentaux la considéraient comme un rempart contre la Chine.

Il a ajouté que l’Inde avait également bénéficié d’une relation stratégique et militaire approfondie avec Israël, forgée par la visite de Narendra Modi dans le pays en juillet 2017, suivie par celle du Premier ministre israélien de l’époque, Benyamin Netanyahou, en Inde l’année suivante.

Interrogé sur l’instabilité de la situation actuelle, Imran Khan a répondu : « Si vous observez les points de tension, à l’heure actuelle, le principal point de tension nucléaire est probablement formé par le Pakistan et l’Inde, car c’est le seul endroit où l’on se retrouve avec deux pays dotés de l’arme nucléaire qui ont connu trois guerres avant de l’acquérir. »

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Imran Khan: le Pakistan ne porte pas la responsabilité de l’issue de la guerre en Afghanistan

Par Imran Khan, Premier ministre du Pakistan

En regardant les auditions au Congrès américain au sujet du retrait d’Afghanistan, j’ai été frappé de voir que les sacrifices du Pakistan, allié des États-Unis dans la guerre contre le terrorisme pendant plus de deux décennies, n’ont pas été mentionnés. Au lieu de cela, nous avons été blâmés pour la débâcle américaine.

Soyons clairs, je n’ai eu de cesse de répéter depuis 2001 que la victoire n’était pas acquise en Afghanistan. Compte tenu de leur histoire, les Afghans n’auraient jamais accepté le déploiement à long terme de forces militaires étrangères sur leur territoire, et aucun pays, y compris le Pakistan, n’était en mesure d’infléchir cela.

Malheureusement, les gouvernements qui se sont succédé au Pakistan après le 11-Septembre ont tenté de se concilier les bonnes grâces des Américains au lieu de souligner les limites d’une approche purement militaire. En quête insatiable de légitimité nationale et internationale, le dictateur militaire pakistanais Pervez Musharraf a systématiquement accordé aux États-Unis le soutien militaire exigé après le 11-Septembre. Cela a coûté cher à Islamabad comme à Washington.

Parmi les groupes ciblés par le Pakistan à la demande des États-Unis figuraient ceux entraînés par la CIA et notre agence de renseignement, l’ISI, pour vaincre les Soviétiques en Afghanistan dans les années 1980. À l’époque, ces moudjahidines afghans étaient salués comme des combattants de la liberté, accomplissant un devoir sacré. Le président Ronald Reagan les a même reçus à la Maison-Blanche.

Une fois les Soviétiques vaincus, les États-Unis ont quitté l’Afghanistan et sanctionné mon pays, laissant derrière eux plus de 4 millions de réfugiés afghans fuir vers le Pakistan alors qu’une guerre civile sanglante éclatait en Afghanistan. Ce vide sécuritaire a donné naissance aux talibans, dont beaucoup ont vu le jour et ont été éduqués dans des camps de réfugiés afghans au Pakistan.

Revenons à l’après 11-Septembre, lorsque les États-Unis ont de nouveau fait appel à nous — mais cette fois contre ceux-là mêmes que nous avions soutenus conjointement pour lutter contre l’occupation soviétique. Pervez Musharraf a mis à disposition des Américains des bases logistiques et aériennes, autorisant la CIA à opérer au Pakistan, allant jusqu’à fermer les yeux sur les drones américains qui bombardaient des citoyens pakistanais sur notre territoire. Pour la première fois, notre armée a envahi les zones tribales semi-autonomes situées à la frontière entre le Pakistan et l’Afghanistan, qui avaient auparavant servi de base au jihad antisoviétique. Les tribus pachtounes de ces régions, farouchement indépendantes, ont tissé des liens ethniques profonds avec les talibans et d’autres militants islamistes.

Pour elles, les États-Unis tout comme les Soviétiques étaient des « occupants » en Afghanistan et ils méritaient le même traitement. Le Pakistan, rangé derrière les États-Unis, a à son tour été jugé coupable et attaqué. Cette situation, aggravée par les quelque 450 frappes de drones américaines sur notre territoire, a fait de nous le seul pays au monde à être ainsi bombardé par un allié. Ces tirs ont causé de nombreuses victimes parmi les civils, attisant le sentiment antiaméricain (et le rejet de l’armée pakistanaise).

La situation rendait tout retour en arrière impossible. Entre 2006 et 2015, une cinquantaine de groupes militants islamistes ont déclaré le jihad contre l’État pakistanais, perpétrant plus de 16 000 attaques terroristes à notre endroit. Ce conflit a coûté la vie à plus de 80 000 Pakistanais, tandis que les pertes économiques du pays se sont élevées à plus de 150 milliards de dollars. Par ailleurs, 3,5 millions de nos citoyens ont dû fuir leur foyer. Certains militants, passant entre les mailles du filet pakistanais, ont réussi à rejoindre l’Afghanistan. Soutenus et financés par les services de renseignement indiens et afghans, ils ont multiplié les attaques contre nous.

Le Pakistan a dû lutter pour sa survie. Comme l’écrivait en 2009 un ancien chef de station de la CIA à Kaboul, le pays « commençait à craquer sous la pression incessante exercée directement par les Américains ». Pourtant, les États-Unis nous demandaient sans cesse d’intensifier nos efforts pour la guerre en Afghanistan.

Un an plus tôt, en 2008, je rencontrais Joe Biden, John F. Kerry, Harry M. Reid et d’autres sénateurs pour leur exposer cette dynamique dangereuse et souligner la futilité de l’intervention militaire en Afghanistan.

Malgré cela, l’opportunisme politique a prévalu à Islamabad tout au long de la période de l’après 11-Septembre. Le président Asif Zardari, sans doute l’homme le plus corrompu à avoir dirigé mon pays, a dit aux Américains de continuer à cibler les Pakistanais parce que « les dommages collatéraux vous inquiètent, vous les Américains, mais ils ne m’inquiètent pas. » Nawaz Sharif, le Premier ministre du gouvernement suivant, était du même avis.

Le Pakistan avait en grande partie contré les offensives des terroristes en 2016. Néanmoins, la situation continuait de se détériorer en Afghanistan, comme nous l’avions prédit. Pourquoi un tel écart ? Le Pakistan disposait d’une armée et d’un service de renseignement disciplinés, qui bénéficiaient tous deux du soutien populaire. En Afghanistan, le manque de légitimité des troupes étrangères déployées depuis longtemps dans le pays était aggravé par un gouvernement afghan corrompu et inepte, perçu par les Afghans, notamment dans les zones rurales, comme un régime fantoche sans crédibilité.

Au lieu d’affronter cette réalité, les gouvernements afghan et occidentaux ont préféré créer un bouc émissaire commode en rejetant la faute sur le Pakistan, nous accusant à tort de fournir des sanctuaires aux talibans et de leur permettre de circuler librement à travers notre frontière. Si tel avait été le cas, les États-Unis n’auraient-ils pas mené certaines des quelque 450 frappes de drones contre ces supposés sanctuaires ?

Pourtant, pour satisfaire Kaboul, le Pakistan a proposé un mécanisme conjoint de visibilité frontalier, suggérant, entre autres, des vérifications biométriques et préconisant d’ériger une clôture le long de la frontière (tâche menée à bien quasiment sans aide extérieure). Toutes nos idées ont été rejetées. Au lieu de cela, le gouvernement afghan n’a pas manqué une occasion de « blâmer le Pakistan », appuyé par l’Inde et ses réseaux de désinformation ramifiés à des centaines d’organes de propagande dans de nombreux pays.

Il aurait été plus réaliste de négocier avec les talibans plus tôt, en évitant l’embarras de la déroute des troupes afghanes et de l’effondrement du gouvernement d’Ashraf Ghani. Le Pakistan n’est certainement pas responsable du manque de motivation de l’armée afghane et de ses 300 000 soldats entraînés et armés face à des talibans sous-équipés. Le problème de fond était que la structure gouvernementale afghane manquait de légitimité aux yeux des Afghans.

Aujourd’hui, alors que l’Afghanistan se trouve de nouveau à la croisée des chemins, nous devons nous tourner vers l’avenir pour prévenir un autre conflit violent dans ce pays, plutôt que de ressasser de sempiternels reproches.

Je suis convaincu que la communauté internationale gagnerait à s’engager aux côtés du nouveau gouvernement afghan pour assurer la paix et la stabilité — ses attentes portent sur l’inclusion des principaux groupes ethniques dans le gouvernement, le respect des droits du peuple afghan et la promesse que le territoire afghan ne sera plus jamais utilisé par des terroristes contre quelque pays que ce soit. Les dirigeants talibans auront davantage de raisons et de moyens de tenir leurs promesses s’ils sont assurés de recevoir l’aide humanitaire et au développement requise pour diriger efficacement le pays. En outre, l’octroi de telles incitations offrirait un levier supplémentaire pour pousser les talibans à honorer leurs engagements.

En appliquant ces principes, nous pourrions aboutir à ce que le processus de paix de Doha visait depuis le début : un pays, l’Afghanistan, qui ne constitue plus une menace pour le monde, où les Afghans peuvent enfin rêver de paix après quatre décennies de conflit. L’alternative — l’abandon de l’Afghanistan — a déjà été tentée. Comme dans les années 1990, elle conduirait inévitablement à l’effondrement, avec pour corollaires naturels le chaos, les migrations massives et une menace renouvelée de terrorisme international. Éviter cela doit être un impératif à l’échelle mondiale.

(Publié dans le Washington Post le 27 septembre, 2021)

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Jinnah Scholarship Award-2021

The Embassy of Pakistan in Paris launches Jinnah Scholarship Award for three bright students who secure highest grades in Baccalaureat exam  and are pursuing University education in France. The scholarships will be awarded to the successful students each year on 14 August 2021. Interested candidates should submit duly filled in application form at the reception of the Pakistan Embassy, 18 rue Lord Byron, 75008 Paris before 5 August 2021. For further information please click on the following link: Jinnah Scholarship Award-2021

Discontinuation of Issuance of Manual Visas

The Government of Pakistan has stopped issuance of manual Visas w.e.f 1st January 2021. All Visa applications now will be processed online at the following web address: www.visa.nadra.gov.pk

Manual Visa applications will no longer be entertained at the Embassy of Pakistan from 1st February 2021. Currently, the Government of Pakistan is not issuing visas on refugees/asylum travel documents.

Mr. Shehryar Afridi, Chairman Parliamentary Committee on Kashmir, was Chief Guest at a Kashmir event in Paris

Embassy of Pakistan

(France)

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Press Release

Paris; October 15, 2021

 

Mr. Shehryar Afridi, Chairman Parliamentary Committee on Kashmir, was Chief Guest at a Kashmir event held here yesterday evening.

A large number of expatriates belonging to Pakistani and Kashmiri communities attended the event. Charge d’Affaires Mr. Muhammed Amjad Aziz Qazi and other officers of the Embassy were also present.

While addressing the gathering, Mr. Afridi highlighted the gross human rights violations committed by Indian occupation forces in Indian Illegally Occupied Jammu & Kashmir (IIOJK) and urged Pakistanis and Kashmiris living in France to raise the Kashmir dispute at all forums in the country.

He also apprised the audience of various steps taken recently by the Parliamentary Committee on  Kashmir through involving international universities, media, cultural personalities, IT professionals, think tanks, civil society, faith leaders, human rights activists as well as legal experts for effectively projecting the Kashmir cause at the world stage.

Speaking at the occasion, Charge d’Affaires appreciated Pakistani and Kashmiri communities in France, which have always been forthcoming in highlighting the Kashmir dispute through various activities regularly.

Earlier in the day, Mr. Shehryar Afridi visited the Embassy and discussed with Charge d’ Affaires and officers of the Mission ways and means for promoting the Kashmir cause in France. He also emphasized that Pakistani community in France should be facilitated to the maximum extent, in line with the vision of Prime Minister Imran Khan.

 

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